Interviews

L’escale de Jeanne avec Alain Hoareau

« Est ce ainsi que les hommes vivent ? »

L’éternel questionnement à la fois nostalgique et plein d’espoir.

Et dans *Cendrillon, c’est moi*, d’Alain Hoareau, le temps semble s’immobiliser parfois, comme pour permettre peut-être un dénouement à l’histoire, à défaut, lui permettre une respiration. 

Un peu de clémence accordée à ces destins « chahutés ». 

Ici, la vie est tenue en lisière…

Et cette Escale de Jeanne, au galop, comme pour vite vite profiter du temps donné à chaque portrait… comme pour prendre le temps de s’émerveiller des ressacs dont parle Alain Hoareau. Il en parle avec humour, avec tendresse, mais toujours hanté par le sentiment inéluctable de la perte.

À la question :

– Vous consolez votre livre parfois ?

L’auteur  répond :

– C’est lui qui me console…

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