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Interviews

L’escale de Jeanne avec Alain Hoareau

« Est ce ainsi que les hommes vivent ? »

L’éternel questionnement à la fois nostalgique et plein d’espoir.

Et dans *Cendrillon, c’est moi*, d’Alain Hoareau, le temps semble s’immobiliser parfois, comme pour permettre peut-être un dénouement à l’histoire, à défaut, lui permettre une respiration. 

Un peu de clémence accordée à ces destins « chahutés ». 

Ici, la vie est tenue en lisière…

Et cette Escale de Jeanne, au galop, comme pour vite vite profiter du temps donné à chaque portrait… comme pour prendre le temps de s’émerveiller des ressacs dont parle Alain Hoareau. Il en parle avec humour, avec tendresse, mais toujours hanté par le sentiment inéluctable de la perte.

À la question :

– Vous consolez votre livre parfois ?

L’auteur  répond :

– C’est lui qui me console…

Interviews

L’escale de Jeanne avec Philippe Colmant

« Parfois le gagnant est seulement un rêveur qui n’a pas lâché… » Jim Morrison

Ce sont les mots qui disent formidablement Philippe Colmant. Il les a d’ailleurs choisis pour en faire une sorte de « brise lame ».

Philippe Colmant est traducteur à la Cour des comptes européenne. Il est poète également. Indéniablement !

Il est cet arpenteur qui choisit les chemins de traverse comme pour prolonger l’instant ! Il porte le mot finitude à la fois comme déjà un regret infini et pourtant comme ce qui permet le poème. Le rauque du poème, sa légèreté parfois, sa beauté, son humanité.

Philippe Colmant a « l’âme entrebâillée » et nous découvrons son mystère, sa fêlure, ses merveilles.

Une Escale de Jeanne à distance, mais le poète et l’aquarelliste entre mots et couleurs abolissent la distance…

Et puis la frontière de la langue est aboli. Il est traducteur le poète.

Nous l’écouterons répondre d’une voix claire et « calme » aux questions posées.

Le calme est en apparence. Il porte en lui des fêlures Philippe Colmant. Des fêlures fécondes… un questionnement…

Et puis, il y a l’enfance tendre et heureuse et il y a l’Amour et toujours le rêve…

Et Philippe Colmant nous dit :

« On porte ses averses, ses cascades, ses chutes…
Mais on avance encore, si le rêve est au sec… »