« La nuit je mens / Je prends des trains à travers la plaine / La nuit je mens / Je m’en lave les mains /J’ai dans les bottes des montagnes de questions / Où subsiste encore ton écho… »*
Une Escale de Jeanne comme entourée d’un liquide amniotique…Une plongée dans un livre *Où subsiste ton écho* ( Éditions L’incertain).
Et puis le suicide de la mère d’un des personnages du livre.
Une thalasso pour reprendre souffle, sortir de l’apnée…
Une recherche du repos, de rédemption…
Accepter cet espace de non lieu derrière le miroir…
Accepter sa vie… le seul espace à soi…
Et l’espace est ouvert…
Aline Angoustures peut continuer de chanter. Elle a dressé un bivouac. Son bivouac…
C’est l’écriture…là où la tente est plantée.
Nomade oui, mais plus jamais errante…
Ni dans le suicide de la mère, ni dans l’échec peut-être de l’éducation du fils… ni …
Celle qui travaille sur le « Droit d’asile, celle qui est Historienne sait maintenant que quoi qu’il arrive, la vie refleurira.
Pour ses personnages et pour elle…
– Aline Angoustures, *Où subsiste ton écho*, Editions L’Incertain
*La nuit, je mens*, Alain Bashung