« On ne se console pas des chagrins, on s’en distrait. »
C’est avec cette phrase de Stendhal que l’on pourrait ouvrir cette Escale de Jeanne avec Anne Bouxin.
Elle écrit, elle est mannequin et elle appartient à cette génération des grands orphelins. Ceux qui ont été aimés et qui perdent tard leurs parents.
Mais elle raconte sans s’attarder. Pudique Anne Bouxin. Très .
Sa vie intime a connu une tempête, elle en parle presque sous X…
Mais Anne Bouxin préfère sourire, déplacer le projecteur, cultiver la légèreté comme une discipline.
Elle est drôle, inattendue…
L’escale lui ressemble.
On navigue entre confidences esquissées et rires…
Un fond de bruit…mais nous sommes si bien accueillis.
Et puis, il y a une vedette : Oups